Étincelles (PV calipso)

Zénith se rendit aux dortoirs des otages en traînant des pieds. Il n'aimait pas y aller. Voir tous ces visages effarés devant ses yeux, ces regards suppliants, n'était pas très agréable. Mais on lui avait donné un ordre et il devait le respecter. Il devait faire sortir les esclaves de leur chambre respective pour les rassemblée dans la salle commune du dortoir. Ensuite un autre officier arriverait pour délivrer un message. Zénith n'avait aucune idée du contenu. Mais c'était rarement de bonnes nouvelles.

Il prévint tous les otages de toutes les chambres en quelques minutes. Il n'en resta bientôt plus qu'une. Zénith l'avait gardé pour la fin. Non seulement sa chambre était dans le fond, mais elle aurait pu être dans le milieu et il n’aurait pas changé ses plans. La jeune fille qui s'y trouvait était très jolie. Il ne pouvait pas dire s'il avait un quelconque attachement avec elle. Il trouvait juste son visage très agréable à regarder, malgré le masque qui lui cachait ses yeux. Ouais. Mystérieuse la fille.

Il frappa à la porte de la chambre et s’en attendre de réponse, l’ouvrit. C’était la procédure de toutes façons. Il regarda l’occupante de la chambre quelques instants.

-Tous les esclaves doivent sortirent de leur chambre. Un message important va être lu.

J'étais en train de faire mes petites affaires. Je gardais toujours ma chambre bien rangé. Je n'étais pas vraiment quelqu'un qui arppréciait le désorde et le cachos. Même si J'aurais tout donné pour la quitter, J'aimait bien ma chambre... Comme elle était la dernière, elle était beaucoup plus petite et donc prévu pour un seul occupant. C'était un peu comme au temple... C'était le seul endroit ou je pouvais échapper à tous... Le seul inconvénient était que je ne pouvais pas voir le vide intersidéral, car contrairement aux autres, je n'avais pas de ublot...

Cela m'arrivait encore de penser à ma planète. J'avais très envie d'y retourner, mais je réalisais désormais que cela était improbable... J'étais esclaves maintenants... Je passa ma main dans mes cheveux en poussant un soupir. Je coiffais mes cheveux quand j'étais nerveuses ou énervées... Quand tout à coup, je me figeais...

*Vision*

Je le voyais qui arrivait. Il faisait sa ronde allant quérir les esclaves pour l'écoute d'un message. À son uniforme, on voit qu'il est un garde... Il a des cheveux bicolore et une douce aura l'entoure... Il n'est pas la pour assouvir ses besoin de carnage, pas comme certain... Il continu sa route quand...

*Fin*

TOC TOC TOC.

Ma vision prend fin aussi abruptement qu'elle à commencer... Je me sens nauséeuse et j'ai la tête qui tourne... Si c'est lui, un homme, je dois me montrer forte et digne...

-Tous les esclaves doivent sortirent de leur chambre. Un message important va être lu.

Je le regardais longuement, puis...

- Je sais...

Il me regarda étrangement avant de hausser les épaules de fasson non-chalante... Comme j'étais la dernière, il me laissa passer devant. J'entendait ses pas derière moi, mais au lieu de m'inquiéter, ils avaient presque l'air rassurant... Sa, c'était étrange... Je ne laissa rien paraitre de mon intérogation, le masque qui me masquait la figure joua un important rôle dans la dissimulation de cette émotion. Nous étions conviés dans une grande salle. Un podium était installer à l'avant ou un homme (pourquoi c'est toujours des hommes =_=') qui se dennais un air important attendait. Comme je l'ais mentionner plus tôt, j'étais la dernière ce qui veux dire que j'étais au fond, tout près des portes. Le garde qui m'avait amener ici, prit bien soin de fermer la porte avant de faire signe aux autres que tous le monde étaient la. Puis, il s'accotat à la porte... Il baissa la tête et ferma les yeux... Je le regardais vraiment étrangement et quand il releva la tête et le remarqua, il me fit un cling d'oeil avant de me faire un sourire qui s'élargit encore quand il me vit faire un sourire en coin, ce qui était inabituelle, car je ne laissais habituellement rien filtrer... Je me retrournais prestement et je l,entendis glousser... Qu'es-ce qui m'arrive!

Zénith avait suivi l'esclave Calipso pour veiller à ce qu'elle se rende au bon endroit. Arrivé dans la grande salle, il ferma la porte, puisque tout le monde était arrivé. Puis il s'appuya sur celle-ci. L'esclave se retournait souvent pour le regarder. Zénith s'en amusa. Il lui sourit. À son grand étonnement, elle sourit aussi. Il ne pu s'empêcher d'élargir le sien un peu plus. Elle avait un joli sourire. Dommage qu'elle ne le montre pas plus souvent. Elle était maintenant de dos. Il observa ses cheveux. Longs et mauves. Ils étaient jolis. Elle devait sans doute en prendre grand soin.

Elle se retourna encore. Cette fois Zénith arqua les sourcils d'un air interrogatif. Il se demandait ce qu'elle voulait. Il ne décolla néanmoins pas de la porte. Il suffirait qu'il décolle de la porte pour qu'il arrive un drame.

Calipso était vraiment une curieuse personne. Le garde se dit qu'elle gagnait surement à être connue.

Je sentais son regard dans mon dos... C'étais comme un pesanteur qui me suivait à chaque pas... Je me retournais constament pour voir si c'étais moi qui me faisait des idées et comme à chaque fois je le voyais qui me regardait... Au lieu de me mettre en colère comme cela aurait été le cas habituellement, cela me rendais mal à l'aise. Je commençais à me demander si quelque chose ne clochait pas sur moi, mais je ne trouva rien... Comme toujours quand quelque chose me tracassait, je prenais mes cheveux, les peignants avec mes mains... Étrange, mais cela m'aidait à réfléchir...

Le message n'avait vraiment rien d'important... Cela devait être la raison du pourquoi je n'avais pas vu son contenue... C'était un histoire à propos de la fête du 100 ans du vaisseau... Je peux vous dire que les esclaves n'étaient pas vraiment emballés pas les **réjuissance**... Je continuais à m'ennuyer royalement pendant que le garde étirait constament son discour quand je sentis la raideur qui précédait chacune de mes vision. Je devenais aussi droite qu'un barre de fer...

*Vision* ( je vais pas la mettre, vous aller comprendre)

Ha non pas eux... Je venais de voir les pire brute du vaissau venir vers moi... Je leur avait fait quoi? Je ne savais pas de quelle planète ils venaient, mais je pleignait les pauvre femmes qui devaient y vivrent... Je tentais de me faire le plus petite possible, mais comme le destin à toujours raison... Ils m'entourèrent...

-Salut Calipso...
- Laisser moi tranquile...

Au lieu de leur faire peur, ma voix menassante les avaient fait rire...

- Aller vien...

Leur chef Weder, un grand rustre aux cheveux vert rabattu avec du noir et au hypnotique yeux vert pâle m'attira plus loin dans la foule... Je n'étais vraiment pas rassuré...

Zénith avait observer la scène avec une inquiétude montante. Weder n'était pas ce qu'on pouvait appelé un coeur tendre. En plus, l'esclave Calipso avait semblé perdre tous ces moyens à l'arrivée de Weder et sa clique. Lorsque l'esclave au cheveux verts lui demanda de venir. Le coeur de Zénith se mit à battre la chamade. Il ne pouvait pas vraiment se mêler de ce qui regardait les esclaves, mais il ne pouvait laisser la jeune femme se mettre en danger.

Soudain, le garde trouva un plan. Pas très compliqué, il faut le dire. Il suffisait d'y penser.

-Hé là! le message n'est pas encore terminé, on reste à sa place, dit-il simplement d'une voix forte, s'adressant à Calipso.

Celle-ci se retourna. Se sentant sans doute interpellée. Zénith lui adressa un sourire et un clin d'oeil, puis lui fit signe de revenir à sa place. Malheureusement, à quelques pas d'elle se trouvait le groupe de Weder. Eux n'avait pas apprécier son intervention et s'emmenaient. Le jeune homme perdit vite son sourire. Il n'y avait pas penser. Même si ça paraissait évident maintenant comme suite des évènements. Zénith ne montra pas plus son embarras. Il avait appris dès les premières années de sa vie à se montrer fier. Weder se prostra devant lui.

-Toi le garde, tu devrais te mêler de ce qui te regarde.

Zénith ne lui répondit pas, ne faisant que lui adresser un regard rempli de haine.

Je soupirais de reconnaissance quand il m'appela... Je pense que si j'aurais eu moins d'orgueil... J'écoutais les ordres et je m'approchais de mon ancienne place, juste devant lui, mais Weder et sa bande n'avait pas dit leur dernier mot.

Weder s'approcha de Zénith tandis que les autres se postait de chaque côter de moi...

-Toi le garde, tu devrais te mêler de ce qui te regarde.

Zénith ne dit mot, mais je sentais toute la haine qu'il ressentait pour l'esclave dans ses yeux. Weder se contentat de sourire...

- Mais j'y pense... Tu ne peux pas quitter ton poste... Tu ne peux rien faire tant que tu dois surveiller cette prote, je me trompe...

Je regardais Zénith, mais ce qu'affirmait Weder semblait vrai... D'un mouvement de la main il fit signe à ses amis qu'ils pouvait continuer... Il laissa Zénith et me pris la main... Je regardais derrière moi tandis que la foule nous enveloppait...

Zénith serra les points. Weder venait de le provoquer ouvertement. La première solution aurait été de lui mettre une bonne correction. Mais voilà, il ne pouvait bouger de sa place. Les esclaves devaient rester à leur place et il devait y veiller.

Le jeune homme se tritura les doigts. Il ne savait que faire. Mais pourquoi je m'inquiète autant pour un simple esclave, bon sang. Il hésita encore quelques secondes.Et puis zut.

Dans un claquement de doigts, Zénith scella les gonds de la porte avec quelques étincelles. Fondus, il ne pourraient plus bouger avant longtemps. Zénith allait sans doute se faire taper sur les doigts, mais sans plus, il était plutôt respecté. Une porte n'était pas très importante, trois autres donnaient accès à la salle. Chacune était surveillée par un autre garde. Peu importe le plan de Weder, il ne s'échappera pas.

Zénith essayait de les repérer dans la foule de la place où il se trouvait. Sans succès. Il dut donc abandonner son poste. Zénith se fit un chemin parmi la foule. Il ne trouva d'abord rien. Il finit tout de même par apercevoir la tête verte de Weder parmi les autres, après plusieurs minutes de quête désespérées.

Ils étaient dans un coin. Il y avait Weder, sa bande et Calipso. Zénith augmenta sa vitesse de marche, puis sortis son arme paralysante. Son intention était de s'approcher de Weder le plus que possible. Malheureusement, un des membres de sa clique l'en empêcha. Il le prit par les poignets et sera si fort que Zénith en lâcha son arme.

-Weder, le trouble-fête est revenu. On est fait quoi?

Zénith voulu dans un premier temps faire lâcher prise à l'autre en lui brûlant les mains, mais il trouva un meilleur plan. Il suffisait qu'il s'approche un peu plus de Weder...

Ils m'avaient acculer dans un coin... Je n,avais plus aucunne possibilité de fuite et comme si ce n'étais pas suffisant, de nombreuses visions m'assaillaient... Elles changeaient constament ce qui faisait un film d'image et de son incoerant qui me donnait très mal à la tête...

*Vision*
- Moi morte par terre, Zénith arrivant trop tard...
- J'éseillais de m'enfuir, mais j'étais ratrapé...
- Moi me débatant, un coup perdu (le poivoir de Weder est de lancer des poites) qui bris le lustre se trouvant au dessus de nous ce qui tue la moitier de la salle...
- Zénith arrivant, mais ne pouvant rien faire...
- Moi pleurant, lui mort par terre...
* Fin*

J'attendais à tous moment qu'elle change, mais elle restait obstinment coller dans mon cerveau... Je tentais de la modifier de manière à le voir vivant, mais l'image semblait indélébile et le futur iréfutable...

Comme de fait, il arravat, mais ne pu s'approcher trop près, car un memnre de la gang a Weber l'avait intercepté...

-Weder, le trouble-fête est revenu. On est fait quoi?

O Freya! Il était venu... Je me débatais plus violament... Il ne fallait pas qu'il meurt... L'équipage avait besoin de lui et j'étais certaines qu'il avait des amis... Je tentais de repousser le plus loin possible de moi l'idée que c'étais peut être moi qui ne voulais pas qu'il meure...

Le chef Weder se retourna vers lui et celui qui lui tenait les mains.

-Amuse-toi. Qu'est-ce que tu veux qu'on en face, Wein? On avait dit pas de témoin parmi l'ennemi.

Pas de témoin parmi l'ennemi. C'est sûr que dans la salle, il y avait en tout cinq gardes. Le reste, c'était des esclaves. Il n'en avait sans doute pas peur.

Une douleur fulgurante se fit sentir dans ses poignets. Le Wein en question le tenait toujours par là, il souriait à présent. Il ne s'était pas mit à serrer plus fort pourtant. Zénith se rendit compte que c'était du froid. Il se souvint l'avoir lut, trop rapidement, sur la fiche de ce Wein. Il pouvait refroidir n'importe qu'elle surface. Il devait juste avoir un contact direct. Il essaya d'envoyer une décharge. Trop tard, ses mains était complètement gelées et ne pouvait plus créer de chaleur.

-Sale con! siffla-t'il entre ses dents.

Si mes mains sont devenues inutilisables à cause de toi, tu va me le payer.Si il avait perdu son pouvoir du feu, si son contrôle de l'énergie était brisé, Zénith ne serait plus rien. Entrant dans une rage noire, il donna un bon coup de pied retourné directement dans les côtes de Wein. Celui-ci tomba, lâchant ses poignets. Les mains de Zénith retombèrent sur ces flancs, pendouillant au bout de ses bras. Le garde ne les sentait plus. Cela l'inquiétait. Wein était étendu sur le sol. Il allait subir bien pire que ça si quelques chose s'était endommagé.

Zénith se rendit compte que les autres n'avait sans doute pas remarqué qu'il ne pouvait plus se défendre, avec son pouvoir du moins. Il se retourna vers Weder, essayant de paraître confiant.

-Tu n'as plus de garde du corps on dirait, rend toi si tu ne veux pas subir la même chose.

Le garde n'avait aucune idée si cet ultimatum allait fonctionner. Il en serait étonné en fait. Mais bon qui ne risque rien n'a rien dit le dicton non?

Calipso soupira quand elle vit que Zénith c'était dégager. Cela ne dura qu'un instant à la vue de ses mains... Elle pendaient molement le long de son corps... C'était étrange... Il devait avoir subi une attaque de la part de Wein...

Weder ne semblait pas abuser par le coup de bluff du garde... Ses bras se changèrent en pointe effiler... Il allait le tuer! Je ne pouvais pas laisser faire sa... Pour une fois, j'allais faire tous ce qui était en mon possible pour changer le destin...

Weder s'approcha, menassant... Zénith lui faisait face continuant son bluff du mieux qu'il pu...

J'en avais assez qu'il vienne me sauver... C'étais mon tour... La colère remplassa la peur. Je mordis la main de l'homme qui me retenais. Weder continuait son avancer vers le garde. Je ne pris même pas le temps de réfléchir, je plongea pour passer entre ses jambes et leva la mienne afin de lui décocher un solide coup au menton qui le mit K-O...

Je m'attendais à voir ma vision changer, mais elle restait obsitément coler dans mon esprit... Il n'était pas sortit su bois. Je m'approcha de lui et pris ses mains dans les miennes...

- Vous allez bien?
- Oui...

Je resentis tout à coup une douleur fulgurante dans ma cuisse... Je me retourna pour voir un pieu lancer par Weder figer dans ma cuisse. Il avait utiliser ses dernières forces pour se venger... Je ne me sentais vraiment pas bien... Y avait-il du poison en plus... Je n'avais plus la force de me tenir debout et je m'écroulat...

-Vous allez bien?avait-elle demandé.

Zénith leva les yeux. Non, ça n'allait pas du tout. S'il avait été aveugle, il n'aurait jamais sut qu'elle venait de lui prendre les mains. Il n'avait plus aucune sensibilité dans les doigts. Il répondit tout de même d'un faible ''oui''. Il ne pouvait pas montrer ses faiblesses. C'était contre tout ce qu'on lui avait enseigné dès son plus jeune âge.

Le silence fut finalement brisé par un bruit sourd. Puis Calipso s'effondra au sol, un pieu dans la jambe.En temps normal, le première réflexe de Zénith aurait été d'enlever le pieu, puis de faire un pansement serré en tissus pour faire cesser l'hémorragie.

Une seule chose l'arrêtait. Le fait qu'il était paralyser à partir des poignets. Et ses forces baissaient rapidement. Le garde héla un esclaves à proximité. celui-ci était un peu traumatisé par la scène qu'il venait de voir, mais il obéit à chacune des instructions de premier secours que Zénith lui donna. Entre-temps, le jeune homme s'était assis, dos contre le mur, observant chacun des gestes de l'esclave. Il avait déjà vécu une scène similaire. C'était au temps où il vivait encore sur sa planète.

*Flashback*

Un champs de bataille, une scène complètement à feu et à sang. Un village Métis venait d'être assiégé. Lui, Lein et les autres étaient allés apportés des renforts. Ils avaient facilement repousser l'ennemi. Lui était trop épuisé pour soigner les blessés, mais il était parmi les seuls à s'avoir si prendre. Il s'était approché de Lein, qui tentait en vain d'arrêté une grave hémorragie avec ses mains, par contact direct. Bonne initiative, sauf dans les cas où ça ne fonctionne pas, comme celui-là. Calmement, il lui avait tout expliqué. Malgré les grave conflits, c'était encore une époque heureuse, Lein était toujours vivante.

*Fin du Flashback*

Zénith retint à grand peine une larme qui menaçait de couler sur sa joue. Il reporta son attention sur ce qui se déroulait devant lui. Une esclave disant qu'elle connaissait les poisons se tenait devant lui et venait de lui demandé si il lui permettait de soigner Calipso. Zénith se reprit et accepta. Il espérait juste que Calipso aille mieux.